C’est notre agitation, nos passions en regard d’une créature vivante qui est toute sérénité, toute tranquillité, toute sainteté, et en l’occurence est un âne (Robert Bresson)
Nous retrouverons dans la vie de Balthazar les étapes d’une vie humaine. L’enfant ravissant aimé pour les caresses. le dur réveil de l’âge adulte et le labeur. Les succès. La période mystique précédant de peu la mort. Balthazar, avec l’oeil d’un juge, traversera divers groupes humains représentant chacun un vice : avarice, ivrognerie, paresse… Son existence sera mêlée à celle d’une fille perdue qui renforcera le drame.
En bonus : un avant-programme produit par l’AFCAE et présenté par Jean-Jacques Bernard
Dans ce film lumineux autant qu'épuré, Bresson livre une magistrale méditation sur le Mal
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Générique
Un film de Robert Bresson
France/Suède – 1966 – N&B – Mono – 1h36
Avec Anne Wiazemsky, François Lafarge, Philippe Asselin