Dans L’homme qui rétrécit, comme dans tous mes autres films fantastiques, ce sont les gens qui m’intéressent avant tout (...). Je voulais créer un climat qui vous laisserait imaginer ce que ce serait si vous deveniez minuscule, que les choses banales et courantes de la vie quotidienne deviennent bizarres et menaçantes. Un chat que vous adorez devient un monstre hideux. Une araignée devient la chose la plus terrifiante que vous ayez jamais vue. Je voulais que le public s’identifie à cet homme et sente les mêmes choses que lui. Et je crois y être arrivé.
Jack Arnold